Amilly (Eure-et-Loir)

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Amilly
Amilly (Eure-et-Loir)
La mairie, l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul en arrière-plan.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Denis-Marc Sirot-Foreau
2020-2026
Code postal 28300
Code commune 28006
Démographie
Gentilé Amilliens(nes)
Population
municipale
1 806 hab. (2021 en diminution de 1,37 % par rapport à 2015)
Densité 90 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 26′ 34″ nord, 1° 23′ 35″ est
Altitude Min. 149 m
Max. 169 m
Superficie 20,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lucé
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Amilly
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Amilly
Liens
Site web https://amilly28.fr

Amilly est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Amilly est située à 7 km à l'ouest de Chartres.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • Mondonville, Dondainville, la Grande Cave, la Noue, le Croc, Ouerray.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare d'Amilly-Ouerray.
La gare d'Amilly-Ouerray.

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

Amilly-Ouerray est desservie par les trains du réseau TER Centre-Val de Loire circulant entre Chartres et Nogent-le-Rotrou[1]. La gare est desservie par 7,5 allers-retours par jour en semaine. Au-delà de Chartres, 3 allers-retours sont prolongés ou amorcés en gare de Paris-Montparnasse. Au-delà de Nogent-le-Rotrou, un aller-retour, appartenant alors à partir de cette gare au réseau TER Pays de la Loire, est prolongé ou amorcé en gare du Mans.

Cependant, le , la gare est fermée au service des voyageurs à la suite d'un accident mortel survenu au passage à niveau jouxtant la gare[2]. Sa réouverture, initialement programmée pour le , est repoussée et aucun train ne dessert la gare jusqu'au [3].

Les trains desservent à nouveau la gare depuis fin 2013.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 657 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Amilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95 %), zones urbanisées (5 %), forêts (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Amilly est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2000, 2001 et 2018[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Amilly.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[19]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 42,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 823 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 578 sont en aléa moyen ou fort, soit 70 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attestée sous une forme Amilli en 1120 dans le cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Josaphat. L'apparition de ce toponyme en 1230 dans une charte de l'abbaye de Saint-Chéron dans l'expression Amilliacum Villa permet de penser que ce toponyme dérive probablement d'un anthroponyme gallo-romain Aemilius[23], suivi du suffixe gaulois -acum.

Une forme ancienne du nom du hameau de Mondonville est attestée dans l'expression Mumdumvilla que est juxta Carnotensem villam en 1144[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Plaque à la mémoire des aviateurs américains morts à Amilly le 1er août 1944.

Antiquité[modifier | modifier le code]

Les origines d'Amilly datent de l'époque romaine : le village s'appelait alors Amilliacum villa, c'est-à-dire domaine d'Amillius, le propriétaire terrien implanté ici. Une voie romaine traversait le bourg, elle reliait Chartres à Courville. Sous nos pieds se trouve un aqueduc romain qui, parti d'une source de Landelles, rejoignait les thermes de Chartres et la ville haute. Des vestiges ont été découverts sous l'hôtel de France, place des Épars. Ce conduit maçonné d'environ 1,60 m de hauteur se situe à environ 1 m de profondeur et traverse toute la commune en laissant son nom à deux hameaux : la Cave et le Croc. Il n'est malheureusement pas accessible.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le , un Boeing B-17 abattu en bombardant la base aérienne 122 Chartres-Champhol s'écrase avec son équipage à Amilly.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1813 Legrand Pierre    
1813 1821 Badreau Claude Nicolas    
1821 1830 Dauvilliers Nicolas    
1830 1840 Maillard Nicolas    
1846 1854 Badreau Jean-Claude    
1854 1858 Ouellard Augustin    
1858 1865 Beaupere Jean-Baptiste    
1865 1870 Desfeves François    
1870 1874 Madlene François    
1874 1876 Cochin Jean-François    
1874 1876 Roquillet Eugène    
1876 1888 Lecerf Elie    
1888 1894 Lamarre Ulcemère    
1894 1898 Desfeves Narcisse    
1898 1900 Breton Eugène    
1900 1901 Foure Georges    
1901 1907 Hazon Henri    
1908 1922 Roquillet Emile    
1922 1925 Bay Henri    
1925 1933 Huet Léonce    
1933 1945 Bay Henri    
1945 1950 Delaporte Paul    
1950 1953 Roquillet Maurice    
1953 1977 Bay Pierre    
1977 2008 Jean Menard DVD / SE Agriculteur
2008 En cours Denis-Marc Sirot-Foreau[25],[26]   Agriculteur sur grande exploitation

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 1 806 habitants[Note 3], en diminution de 1,37 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
390408409381365390382404416
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
431420410393392383366355346
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
333355346368401381354433420
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
5546761 1681 7792 0981 9581 9421 9041 885
2014 2019 2021 - - - - - -
1 8431 8251 806------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École maternelle : les Petits Épis ;
  • École élémentaire : la Martinerie.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune a adhéré en 2002 à l'association Terre de Beauce, chargée de faire connaître le patrimoine d'Eure-et-Loir.

Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul[modifier | modifier le code]

  • La nef est du XIIe siècle, son chœur est du XIIIe siècle remanié au XVe siècle, les fonts baptismaux du XVIIIe siècle.
  • Les bancs clos du XVIIIe siècle sont remarquables, de même que les boiseries et surtout les fameuses peintures polychromes médiévales (le Dit des trois Morts et des trois Vifs) mises au jour lors de la restauration de 1999.
  • Les vitraux sont du XIXe et XXe siècles, à l'exception du vitrail en grisaille derrière le retable et de 2 fragments dans les lancettes de la fenêtre nord qui représentant 2 anges sur fond bleu de Chartres datés du XVIe siècle[31].

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le monument aux morts, édifié en commun avec Cintray, commémorant notamment la chute d'un bombardier allié le  ;
  • Le château de Dondainville[32] ;
  • Le canal.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Une ferme à Ouerray (1844), huile sur toile, musée des Beaux-Arts de Chartres.
Une ferme à Ouerray (1844), huile sur toile, musée des Beaux-Arts de Chartres.
  • Alexandre Ségé (1819-1885), peintre et graveur français, a réalisé en 1844 deux toiles représentant le hameau d'Ouerray : Une ferme à Ouerray et Intérieur de ferme à "Voiray" (environs de Chartres).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. [PDF] : « Fiche horaire Paris – Le Mans valable à partir du 9 décembre 2012 » (consulté le ).
  2. Laurence Faucon, « Gare D’Amilly-Ouerray : service aux voyageurs suspendu jusqu’au 03 mars 2013 », sur maligne-ter.com, SNCF, (consulté le ).
  3. « http://www.lechorepublicain.fr/eure-et-loir/actualite/pays/pays-chartrain/2013/03/09/la-gare-leur-est-indispensable-1470147.html »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)Hélène Duffay, « La gare leur est indispensable », sur www.lechorepublicain.fr, L'Écho Républicain, (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Amilly et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Amilly », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Amilly », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. Jacques Debal - Histoire d'Orléans et de son terroir: Des origines à la fin du XVIe siècle. Page 129. (ISBN 2717102760).
  24. Métais (abbé), cartulaire de Notre-Dame de Josaphat. (1912), t. 1, p. 170, §CXXXIII.
  25. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. [PDF] Églises ouvertes en Eure-et-Loir, « Église Saints Pierre et Paul d'Amilly », sur eglises-ouvertes-eure-et-loir.fr (consulté le ).
  32. Mairie d'Amilly, « Château de Dondainville », sur amilly28.fr (consulté le ).